Seul, solitaire, il avait élu domicile sur ce monticule loin du monde perdu au milieu des arbres de la forêt qui lui soufflait à l’oreille les douceurs du soir .Il avait atterri là un jour où l’armée l’avait démobilisé. Il s’était réfugié là le cœur plein de souvenirs
Là retranché dans sa solitude qui remplissait son cœur de souvenirs qui lui remontaient et qui lui faisaient mal. Il voyait ses camarades tomber sous le balles et lui toujours debout continuait viser et tirer sur cet ennemi insaisissable qui sortait des entrailles de la terre et qui s’évaporait dans la nature.
Parfois quand quelqu’un lui rendait visite, ils s’asseyaient tous deux sous à l’ombre s’adossant au mûr, les pieds allongés se racontant les petits détails de toute une vie, alors il se lançait dans un de ses récits qui lui tenait à cœur, il racontait ses fait d’armes, il se souvenait des détails de la campagne qu’il avait faite, des combats qu’ils avaient livrée, lui et ses camarades là-bas au Viêt-Nam qu’il avait rejoint après s’être engagé.
Dans son récit qui le faisait retourner sur ses pas, on sentait parfois ses cordes vocales vibrer par les sentiments qui remontaient en lui.
Par moment lorsqu’il sentait les souffrances lui monter, il se souvenait de son camarade touché à bout portant blessé à mort et qu’il avait transporté à travers la forêt appelant au secours, mais personne ne l’avait entendu ce jour là si bien que le blessé mal en point criblé de balle avait trépassé dans un derniers souffle sur son dos sans qu’il ne s’en aperçu.
L’angoisse le prenait à la gorge se mettait à transpirer et éclatait en sanglot, et tout son corps se mettait à trembler. Alors les larmes perlaient puis glissaient sur ses joues, la vision de ce corps sur son dos lui faisait mal, vivant au fond de tout son être le désarroi de ce souvenir qui continuait de le marquer.
Et chaque fois qu’il racontait ces histoires, il ressentait toujours la même souffrance qui le faisait toujours éclater en sanglot et jusqu’à sa mort ce souvenir le hanta.
Là retranché dans sa solitude qui remplissait son cœur de souvenirs qui lui remontaient et qui lui faisaient mal. Il voyait ses camarades tomber sous le balles et lui toujours debout continuait viser et tirer sur cet ennemi insaisissable qui sortait des entrailles de la terre et qui s’évaporait dans la nature.
Parfois quand quelqu’un lui rendait visite, ils s’asseyaient tous deux sous à l’ombre s’adossant au mûr, les pieds allongés se racontant les petits détails de toute une vie, alors il se lançait dans un de ses récits qui lui tenait à cœur, il racontait ses fait d’armes, il se souvenait des détails de la campagne qu’il avait faite, des combats qu’ils avaient livrée, lui et ses camarades là-bas au Viêt-Nam qu’il avait rejoint après s’être engagé.
Dans son récit qui le faisait retourner sur ses pas, on sentait parfois ses cordes vocales vibrer par les sentiments qui remontaient en lui.
Par moment lorsqu’il sentait les souffrances lui monter, il se souvenait de son camarade touché à bout portant blessé à mort et qu’il avait transporté à travers la forêt appelant au secours, mais personne ne l’avait entendu ce jour là si bien que le blessé mal en point criblé de balle avait trépassé dans un derniers souffle sur son dos sans qu’il ne s’en aperçu.
L’angoisse le prenait à la gorge se mettait à transpirer et éclatait en sanglot, et tout son corps se mettait à trembler. Alors les larmes perlaient puis glissaient sur ses joues, la vision de ce corps sur son dos lui faisait mal, vivant au fond de tout son être le désarroi de ce souvenir qui continuait de le marquer.
Et chaque fois qu’il racontait ces histoires, il ressentait toujours la même souffrance qui le faisait toujours éclater en sanglot et jusqu’à sa mort ce souvenir le hanta.
