Curiosité
Curieux que le temps qui passe
Imprime sur la face de nos visages
L’insolite des instants qui font face
Aux maux qui vont et qui s’effacent
Faut-il laisser le temps faire la place
Aux larmes et laisser les tristesses prendre place
Pour partir laissant les cœurs les traces
Qui font mal et restent collées en grappes
Curieux sont ces mots s’acharnent
Sur les griffures du temps qui chargent
Les dos qui se voutent sous la charge
Qui pèsent et fléchi et laissent sans courage
Curieux les moments qui se partagent
Entre les rires et les larmes en nage
Les sourires et les courroux des visages
Qui essaient d’oublier la vie et ses adages
Difficile de parvenir et prendre son envol
Pour laisser là dans le sillage des instants
Qui passent et marquent les cœurs perdus
Sur le chemin solitaire l’esprit ému
Curiosité laissée par les temps qui courent
À leur perte sur les sentiers qui se perdent
Dans les méandres allant droit à leur perte
Pour ne faire des moments qui restent.
Tous droits réservés 20 Décembre 2013
Imprime sur la face de nos visages
L’insolite des instants qui font face
Aux maux qui vont et qui s’effacent
Faut-il laisser le temps faire la place
Aux larmes et laisser les tristesses prendre place
Pour partir laissant les cœurs les traces
Qui font mal et restent collées en grappes
Curieux sont ces mots s’acharnent
Sur les griffures du temps qui chargent
Les dos qui se voutent sous la charge
Qui pèsent et fléchi et laissent sans courage
Curieux les moments qui se partagent
Entre les rires et les larmes en nage
Les sourires et les courroux des visages
Qui essaient d’oublier la vie et ses adages
Difficile de parvenir et prendre son envol
Pour laisser là dans le sillage des instants
Qui passent et marquent les cœurs perdus
Sur le chemin solitaire l’esprit ému
Curiosité laissée par les temps qui courent
À leur perte sur les sentiers qui se perdent
Dans les méandres allant droit à leur perte
Pour ne faire des moments qui restent.
Tous droits réservés 20 Décembre 2013

Méditation
Sur son dos voûté
Il avançait, seul, oublié
Il suivait la route serpenter
Pour aller se perdre et s’aligner
Sur le chemin, solitaire il pensait
Il marchait les idées le harcelaient
Sous son turban la bataille se livrait
Le bien et le mal s’opposaient
Il marchait la tête courbée
Par tant de misère vécue
Rencontrée là, sur la route parcourue
En ermite solitaire ses pas résonnaient
Il méditait à ce que ce fut sa vie
Sa lointaine enfance lui apparut
Comme un long rêve qui fait revivre
Le temps qui passe et qui s’oublie
Il marchait dans le silence de la nuit
Seul avec ses souvenirs demeuraient
Comme le soupir qui parfois le plongeait
Dans sa méditation profonde qui l’enivrait
Il ne se lamentait pas, mais il souffrait
Les sentiments perdus tout au long du chemin
Parcouru les cheveux et la barbe mal rasés
Allant cherchant au fil du temps son éden perdu
Il avançait dans cette nuit froide profonde
Suivant son instinct qui le poussait sur les ondes
Des étoiles qui dansent pour lui la sarabande
Comme les hirondelles qui chantent en ronde
Il méditait seul sur le chemin qui monte
Et qui va pour aller au loin pour découvrir
Le vaste monde qui s’étale à ses pieds
Comme pour le libérer du temps son geôlier.
Tous droits réservés 22 Décembre 2013
Il avançait, seul, oublié
Il suivait la route serpenter
Pour aller se perdre et s’aligner
Sur le chemin, solitaire il pensait
Il marchait les idées le harcelaient
Sous son turban la bataille se livrait
Le bien et le mal s’opposaient
Il marchait la tête courbée
Par tant de misère vécue
Rencontrée là, sur la route parcourue
En ermite solitaire ses pas résonnaient
Il méditait à ce que ce fut sa vie
Sa lointaine enfance lui apparut
Comme un long rêve qui fait revivre
Le temps qui passe et qui s’oublie
Il marchait dans le silence de la nuit
Seul avec ses souvenirs demeuraient
Comme le soupir qui parfois le plongeait
Dans sa méditation profonde qui l’enivrait
Il ne se lamentait pas, mais il souffrait
Les sentiments perdus tout au long du chemin
Parcouru les cheveux et la barbe mal rasés
Allant cherchant au fil du temps son éden perdu
Il avançait dans cette nuit froide profonde
Suivant son instinct qui le poussait sur les ondes
Des étoiles qui dansent pour lui la sarabande
Comme les hirondelles qui chantent en ronde
Il méditait seul sur le chemin qui monte
Et qui va pour aller au loin pour découvrir
Le vaste monde qui s’étale à ses pieds
Comme pour le libérer du temps son geôlier.
Tous droits réservés 22 Décembre 2013